La sélection du moment c’est une suggestion, une seule, d’un film ou d’un livre sur le théâtre ou la danse, d’un spectacle dansé ou théâtralisé ou encore d’un événement relié à un de ces deux arts que vous ne devez manquer sous aucun prétexte.
Par Robert Boisclair
Crédit photo: Denis Farley |
Solitudes duo
Solitudes duo proposent moult gros plans sur le couple. Masculins, féminins, mixtes, les duos se succèdent dans cette chorégraphie de Daniel Léveillé. Six duos de peu de gestes: portés, battements de pieds, rotations aériennes des corps. Des couples qui s'aiment, s'attirent, se repoussent, se détestent. Des couples qui se laissent désirer sur une musique baroque et psychédélique très années soixante-dix.
Synopsis (tiré du site de La Rotonde)
Solitudes duo constitue la suite logique du cycle de création amorcé par Daniel Léveillé avec Solitudes solo, que La Rotonde a présenté à Québec en mars 2016. Au programme : splendeurs et misères du couple, identités à fondre ou à défendre dans la blancheur immaculée d’un espace limité et liberté à trouver dans la contrainte de la relation.
Les corps se lovent, s’envolent dans d’acrobatiques et tendres portés, s’effondrent sous le poids du mépris. Les semblables se rencontrent en miroir. La nature du lien se lit dans les regards, les tensions de la chair, la qualité du contact. Pudeur, passion, indifférence, affection et gourmandise s’expriment au son de clavecins et violons baroques et de rock psychédélique des années 1970.
Force, grâce et émotion se conjuguent dans une danse exigeante qui, par le prisme de la physicalité, révèle l’éloquence brute des corps en interrelations.
Bon théâtre et bonne danse!
Solitudes duo constitue la suite logique du cycle de création amorcé par Daniel Léveillé avec Solitudes solo, que La Rotonde a présenté à Québec en mars 2016. Au programme : splendeurs et misères du couple, identités à fondre ou à défendre dans la blancheur immaculée d’un espace limité et liberté à trouver dans la contrainte de la relation.
Les corps se lovent, s’envolent dans d’acrobatiques et tendres portés, s’effondrent sous le poids du mépris. Les semblables se rencontrent en miroir. La nature du lien se lit dans les regards, les tensions de la chair, la qualité du contact. Pudeur, passion, indifférence, affection et gourmandise s’expriment au son de clavecins et violons baroques et de rock psychédélique des années 1970.
Force, grâce et émotion se conjuguent dans une danse exigeante qui, par le prisme de la physicalité, révèle l’éloquence brute des corps en interrelations.
Les 19 et 20 avril à La Rotonde
Avec Mathieu Campeau, Ellen Furey, Esther Gaudette, Justin Gionet,
Brianna Lombardo, Emmanuel Proulx et Simon Renaud
Brianna Lombardo, Emmanuel Proulx et Simon Renaud
Une chorégraphie de Daniel Léveillé
Bon théâtre et bonne danse!
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